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    Liste des figures de style littéraires

    Liste des figures de style littéraires

    Les figures de style sont des procédés littéraires qui dénotent dans la construction d'un texte. Elles servent à créer des effets au moment de la lecture pour un public attentif. Il s'agit donc d'un segment de discours anormal qui enrichit le style d'un auteur. Pour mieux les trouver dans un texte et les analyser, il faut tout d'abord comprendre le mode de fonctionnement de ces figures de style. Voici donc une liste des figures de style littéraires classées par ordre alphabétique :

    Les figures de style commençant par A :

    • Accumulation (fem.) : liste de propositions séparées par une ponctuation comme la virgule ou le point-virgule. Exemple : Chaque jour, j'observe les fleurs, les arbres, les oiseaux, les lapins.
    • Acmé (fem.) : l'acmé est le sommet de la mélodie d'une phrase. Il constitue le point pivot entre la protase (moment où la voix monte à la lecture d'une phrase) et l'apodose (la voix est descendante).
    • Allégorie (fem.) : il s'agit de la représentation concrète d'une idée abstraite. Par exemple, une grande silhouette squelettique munie du faux va venir représenter l'idée de la mort qui n'est pas physique.
    • Allitération (fem.) : répétition dans un passage plus ou moins long des consonnes : "Quels sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes".
    • Amplification (fem.) : gradation entre les termes d'une énumération (ou d'une accumulation) ou dans la construction d'un paragraphe. Exemple : "Avant de la connaître, je la tolérais. Puis nous nous sommes retrouvés en contact lors de projets en commun et j'ai trouvé en elle une associée infatigable. Plus le temps passait, plus nous nous parlions de nos vies. Puis d'amie, elle est passée à amie intime, à amante et à femme de ma vie."

    • Anacoluthe (fem.) : crée une rupture de la construction syntaxique de la phrase. Exemple : Exilé sur le seuil au milieu des huées, // ses ailes de géants l'empêchent de marcher
    • Anadiplose (fem.) : reprend, au début d'une proposition, le mot qui termine la phrase précédente. Par exemple : Je vis ce beau Lyon, Lyon que tant je prise.
    • Analepse (fem.) : équivalent du flash-back en littérature. Il s'agit d'un retour sur des événements qui se sont déroulés avant le moment de la narration. Exemple : Plus tôt, le Chaperon rouge avait rempli son panier.
    • Anaphore (fem.) : répétition en début de phrase d'un même segment. Exemple : Ceux qui aiment les arts, les sciences diront, // Ceux qui sont vertueux, pour tels se feront croire, // Ceux qui aiment le vin, deviseront de boire, // Ceux qui sont de loisir, de fables écriront
    • Antanaclase (fem.) : l'antanaclase reprendre un mot d'une même phrase avec une variation de sens. Le mot est utilisé dans une nouvelle acception : Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. (Raison = motif, argument puis le raisonnement, le sens commun).

    • Antapodose (fem.) : palier intermédiaire que l'on place parfois entre la protase et l’apodose.
    • Antéisagoge (fem.) : il s'agit d'une antithèse opposant une réalité qui est niée à une réalité affirmée. Exemple : Ce n’était pas un enfant, ce n’est pas un homme : c’était un étrange gamin-fée.
    • Antépiphore (fem.) : répétition au début et à la fin d'un paragraphe ou d'une strophe d'un même segment de phrase : "Rien, je ne verrai plus rien".
    • Antiphrase (fem.) : procédé qui sert à exprimer une idée par son contraire. Exemple : C'est malin !
    • Antithèse (fem.) : rapprochement de deux termes opposés pour soulever le contraste entre eux dans une même phrase. Ils ne révèlent pas forcément une situation d'opposition dans l'énoncé. Exemple : Vivant le jour, elle adore la nuit.

    • Autonomase (fem.) : on utilise un nom propre pour en faire un nom commun ou l'inverse. Exemple : un Don Juan (pour signifier un séducteur sans scrupule).
    • Aphérèse (fem.) : suppression ou effacement de la première syllabe : "les Ricains"
    • Apocope (fem.) : suppression ou effacement de la dernière syllabe d'un mot : "le ciné" pour "le cinéma"
    • Apodose (fem.) : l'apodose correspond à la chute de la phrase. Exemple : tous dormaient, // les bateaux ancrés, le phare illuminé, les poissons silencieux.
    • Aposiopèse (fem.) : utilisation des points de suspension pour rompre la suite attendue de l'énoncé. Exemple : Et la tasse tomba... points de suspension

    • Assonance (fem.) : répétition d'une même voyelle dans une phrase ou bien dans un vers. Exemple : Hakuna Matata
    • Asyndète (fem.) : suppression du mot de liaison "et" à la fin d'une énumération. Exemple : Je vois le port, la plage, le phare, les nuages.
    • Auxèse (fem.) : accumulation d'expressions hyperboliques à visées mélioratives. Exemple : Que son œil était pur et sa lèvre candide !

    Les figures de style littéraires de B à D :

    • Brachylogie (fem.) : raccourci syntaxique procédant à la suppression d'un élément dans un parallélisme de construction. Exemple : Je t’aimais inconstant, qu’aurais-je fait fidèle ? Qui correspond à : "Je t’aimais bien que tu fusses inconstant, qu’aurais-je fait si tu avais été fidèle ?"

    • Cadence majeure / Cadence mineure (fem.) : dans une période, lorsque la protase est brève et l’apodose longue, on parle de cadence majeure ; à l’inverse, lorsque la protase est longue et l’apodose brève, on parle de cadence mineure. La cadence majeure souligne un effet d’expansion, tandis que la cadence mineure crée un effet de chute abrupte et inattendue. Lorsque la protase et l’apodose sont de même taille, on parle de cadence équilibrée.
    • Catachrèse (fem.) : employer un mot par métaphore pour désigner un objet ou une idée pour lequel la langue n'a pas de mot propre. Exemple : Les pieds d'une table.
    • Chiasme (masc.) : disposition en croix d'éléments repris selon la structure A-B-B-A : Et rose elle a vécu ce qui vivent les roses
    • Clausule (fem.) : conclusion rythmique d’une phrase généralement périodique ; elle s’accompagne souvent d’un effet sémantique de pointe.
    • Comparaison (fem.) : mise en relation d'un comparé avec un comparant avec un mot-outil (tel, comme, semblable à, similaire, etc.). Exemple : Tu es vif comme un guépard.
    • Conglobation (fem.) : accumulation de preuves dans un discours argumentatif
    • Contrepèterie (fem.) : changement d'ordre de lettres pour constituer des mots très similaires spécialement choisis dont l'assemblage a également un sens, de préférence burlesque ou grivois. Exemple : L'acte des sexes est l'axe des sectes permutation de phonèmes ou syllabe d'un mot à l'autre.

    • Dérivation (fem.) : emploi de mots possédant la même racine (un miraculeux miracle)

    Toutes les figures commençant par E :

    • Ekphrasis (fem.) : correspond à la description détaillée d'un objet (souvent un tableau, une sculpture ou une représentation d'art visuel en général) donnant lieu à la création d'une image. Cette figure est proche de l'hypotypose. Exemple : la description d'un tableau est par exemple une ekphrasis.
    • Ellipse (fem.) : l'ellipse peut avoir deux niveaux de lecture. 1. Suppression de certains éléments logiquement nécessaires à la construction complète d'une phrase. Exemple : arrive à 10h, ai pain et croissants. 2. L'ellipse narrative consiste à supprimer une partie de la narration pour accélérer l'histoire.
    • Emphase (fem.) : figure de style qui consiste à utiliser un mot, une expression ou un groupe de mot pour renforcer une image ou une idée en l'exagérant.
    • Enallage (fem.) : substitution d'une forme grammaticale par une autre, souvent fautive. Exemple : Je suis colère, je parlons.
    • Epanadiplose (fem.) : reprise d'un élément au début et à la fin d'une même phrase. Exemple : Chef, je crois qu'on a un très gros problème chef !

    • Épanalepse (fem.) : répétition du même mot au début et à la fin d'une phrase ou d'un vers. Cette figure équivaut à l'épanadiplose en poésie. Exemple : L’homme est un loup pour l’homme.
    • Épanode (fem.) : double anadiplose qui fait de chaque terme répété le point de départ d'un développement ou d'une explication. Exemple : Elle le quitta avec impatience et dédain : impatience parce qu’il la contrariait, dédain parce qu’il n’était pas riche.
    • Épanorthose (fem.) : autocorrection comique ou ironique. Exemple : Mademoiselle de la Caverne, se doutant de notre intelligence, ou plutôt n’en doutant plus, défendit à sa fille de me parler.
    • Épenthèse (fem.) : ajout d'un phonème à l'intérieur d'un mot : "mange-t-il ?"
    • Ephiphonème (masc.) : exclamation sentencieuse au début ou à la fin d’un discours. Exemple : Homme libre, toujours tu chériras la mer !

    • Epiphore (fem.) : cette figure de style est similaire à l'anaphore qui reprend des segments en tête de groupe. Comme l'anaphore, elle reprend un segment de phrase, cependant la répétition se fait en fin de groupe. Exemple : Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie
    • Epitrochasme (masc.) : suite de mots très brefs dans une structure reprenant des éléments de même rang. Ils peuvent être juxtaposés ou coordonnés. Exemple : Son esprit, strict, droit, bref, sec et lourd
    • Epizeuxe (fem.) : répétition d'un même mot sans coordination : "Voyage, voyage !"
    • Ethopée (fem.) : description morale comme "Il est avare"
    • Euphémisme (masc.) : atténuer l'expression d'une idée. Cette figure de style vient remplacer une expression littérale par une forme adoucie. Exemple : Il n'est plus pour signifier la mort d'une personne.
    • Expolition (fem.) : répétition d'une même idée sous des formes différentes. Exemple : Et la mer et l’amour ont l’amer pour partage, Et la mer est amère, et l’amour est amer.

    Liste des figures de style de G à L :

    • Gradation (fem.) : progression ascendante ou descendante. Exemple : C'est un roc, c'est un cap, c'est une péninsule.

    • Hendiadys (masc.) : cette figure de style dissocie deux éléments coordonnés pour en faire deux syntagmes là où il n'y en a normalement qu'un seul. Exemple : Un temple rempli de voix et de prières sachant que les prières sont faites de voix.
    • Homéoptote (masc.) : utilisation de différents mots à la suite avec la même désinence. Exemple : Les servants se hâtèrent / Les pointeurs pointèrent / Les tireurs tirèrent / Et les astres sublimes se rallumèrent l'un après l'autre
    • Homéotéleute (fem.) : les rimes sont dites en prose. Exemple : Paris brûlée, Paris martyrisée, Paris libérée
    • Hypallage (fem.) : déplacement syntaxique qui qualifie un autre nom que celui auquel il se rapporte pour le sens. Exemple : Le lit dormait d'un profond sommeil
    • Hyperbate (fem.) : allongement de la phrase alors même qu'elle semblait terminée. Exemple : Je suis allée acheter du pain, de la semoule et de la farine, et le journal.

    • Hyperbole (fem.) : expression exagérée et superlative. Cette figure de style est souvent employée avec des accumulations ou l'emploi d'intensifs. Exemple : C'était le cours le plus long de toute ma vie
    • Hypotaxe (fem.) : abondance anormale de liens de subordination ou de coordination dans une même phrase ou plusieurs phrases consécutives.
    • Hypotypose (fem.) : accumulation de détails pour former un tableau. Exemple : "ce tapis de verdure, où ondulaient des herbes vert émeraude, d'autre vert sapin ou encore vert citron".
    • Hypozeuxe (fem.) : parallélisme de groupes syntaxiques, le plus souvent juxtaposés et couplés avec une anaphore. Exemple : Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !

    • Ironie (fem.) : figure de style très courante qui repose sur l'antiphrase et le ton de prononciation. Elle consiste à dire le contraire de ce que l'on pense, mais de manière à le faire comprendre à son interlocuteur. Il y a donc un décalage entre ce qui est dit et ce qui est pensé. Cette figure de style produit une raillerie bien souvent. Elle peut ne pas être comprise et nécessite souvent une contextualisation.

    • Litote (fem.) : cette figure de style consiste à en dire le moins pour en suggérer le plus. Exemple : Va je ne te hais point pour exprimer l'amour envers une personne.

    Toutes les figures de style de M à O

    • Métaphore filée (fem.) : série de métaphores où tous les comparants appartiennent au même champ lexical. Exemple : Elle ne savait pas quel serait ce hasard, ce vent qui le pousserait jusqu'à elle, vers quel rivage il la mènerait.
    • Métaphore in absentia (fem.) : comparaison sans mot-outil où le comparé n'est pas exprimé : "La serpe d'or brille dans le ciel".
    • Métaphore in praesentia (fem.) : comparaison sans mot-outil où le comparé est exprimé : "La lune est une serpe d'or".
    • Métonymie (fem.) : employer la partie pour le tout, on remplace A par B en comptant sur le lien logique. Exemple : boire un verre sachant qu'on ne boit pas "un verre", mais le contenu du verre.
    • Mise en abyme (fem.) : élément représentatif du texte inséré dans le texte. Par exemple : représenter un auteur qui écrit une pièce de théâtre dans une pièce de théâtre ou montrer.
    • Mot-valise (masc.) : fusion de deux mots pour en former un nouveau dont le sens est souvent compréhensible. Exemple : Choixpeau, bobo (bourgeois bohème), etc.

    • Onomatopée (fem.) : transcription d'un bruit en mot : "Miaou". 
    • Oxymore (masc.) : rapprochement de deux mots dont le sens est contraire. Il s'agit d'une antithèse réduite à son minimum : "clair-obscur".

    Liste de figure de style littéraire en P :

    • Paradoxe (masc.) : un paradoxe revient à donner une idée qui va à l'encontre de l'opinion commune. Cela se fait souvent dans le point d'aboutissement d'une phrase. On emploie alors un terme qui semble opposé à ce qui devait être dit pour exprimer une surprise tout en exprimant une vérité. Exemple : Ce qu'il avait de plus admirable, c'était d'être l'homme du monde le mieux fait et le plus beau.
    • Parallélisme (masc.) : reprise d'une même structure grammaticale pour constituer un ensemble de propositions. Exemple : Tous les jours je vais en cours, tous les week-ends je vais au cinéma.
    • Parataxe (fem.) : suppression des liens de coordination ou de subordination entre les propositions. Exemple : J'arrive à 10 heures, le train est parti à l'heure, je prends le repas sur le chemin
    • Parembole (fem.) : utilisation des parenthèses coupant un propos pour exprimer le point de vue de l'auteur ou du narrateur. Exemple : Elle lui sauta aux yeux, furieuse comme une lionne à qui on ravit ses petits (j’ai peur que la comparaison ne soit ici trop magnifique).
    • Paronomase (fem.) : emploi très rapproché de deux mots au sens différent, mais dont le son est très proche. Exemple : "Horrible ville, horrible vie".

    • Période (fem.) : phrase syntaxiquement complexe, mais formant un tout bien uni. Elle se compose généralement d’une protase et d’une apodose, auxquelles s’ajoute parfois une antapodose.
    • Périphrase (fem.) : utilisation de plusieurs mots formant une expression pour remplacer un mot unique. Exemple : on pensera aux Précieuses ridicules de Molière qui parlaient en périphrase. Pour évoquer les yeux, elles disaient par exemple "les miroirs de l'âme".
    • Personnification (fem.) : prête des sentiments ou des traits humains à une chose inanimée ou à un animal (dans le cas d'un animal, on appelle cette tendance l'animalisme lorsqu'il est récurrent). Exemples : Cette mouette m'a jeté un regard méprisant. Le mur a dû avoir mal quand tu l'as cogné.
    • Pléonasme (masc.) : répétition des termes ayant le même sens. Exemples : "le petit nain" ou "voire même".
    • Pointe (fem.) : formule sentencieuse qui surprend l'esprit par l’ingéniosité de son tour.
    • Polyptote (masc.) : répétition d'un terme avec une variation morphologique (de nombre, de personne, de mode, de genre, de voie ou de temps) : "passé, passée, passées"

    • Polysyndète (fem.) : ajout de « et » devant tous les termes d'une énumération. Exemple : Je vois le port et la plage et le phrase et les nuages.
    • Prétérition (fem.) : fait d'aborder un sujet en prétendant ne pas vouloir en parler. Exemple : Je ne vous parlerai pas de vos procès.
    • Prolepse (fem.) : figure de style qui coupe la narration pour offrir un passage de ce qui se passera dans le futur. C'est l'inverse du flash-back. Exemple : On marche ensemble sur les trottoirs où nous irons tomber plus tard.
    • Prosographie (fem.) : description physique d'un personnage. Exemple : Il a un grand nez.
    • Prosopopée (fem.) : figure de style qui fait parler une chose inanimée et/ou rapporte des paroles d'un inanimé au discours direct. Exemple : Buzz l'Eclair « vers l'infini et au-delà »
    • Protase (fem.) : montée de la phrase (ou première partie d'une période). Exemple : les bateaux ancrés, le phare illuminé, les poissons silencieux, // tous dormaient.

    Les figures de style rhétorique de Q à Z

    • Question rhétorique (fem.) : affirmation déguisée en question, n'appelant pas nécessairement une réponse : "On est d'accord ?".

    • Rythme ascendant (masc.) : figure de style dans laquelle la longue des segments croît. Exemple : l'enfant, la petite fille, la jeune fille blonde, la femme d'affaires en costume noir.
    • Rythme binaire, ternaire (masc.) : regroupement de mots par 2 ou par 3 : "La campagne verte et riante, défeuillée et déserte"
    • Rythme descendant (masc.) : longueur des segments décroît : "la femme d'affaires en costume noir, la jeune fille blonde, la petite fille, l'enfant".

    • Style coupé (masc.) : succession de propositions ou de phrases courtes, le plus souvent juxtaposées.
    • Syllepse (fem.) : joue sur la polysémie d'un mot qui n'est présent qu'une fois : "Je préfère la Poutine canadienne que Russe" (plat/homme politique).
    • Symploque (fem.) : figure de style consistant à répéter un ou plusieurs mots en début et fin d'un segment ou d'une phrase. Cela revient à additionner anaphore et épiphore. Exemple : J'accuse toute l'insouciance humaine créée par la vie. J'accuse les hommes d'êtes viles et ce quelle que soit la durée de la vie.
    • Synecdoque (fem.) : utilisation d'un mot auquel on donne un sens pus large ou plus restreint que ce qu'il a en temps normal. Exemple : "Cent têtes sont venues assister à ton spectacle", là les têtes sont une partie du corps qui représente la personne en entier.

    • Tapinose (fem.) : accumulation d’expressions hyperboliques à visée péjorative. Exemple : Un gros soleil rutilant et bouffi comme une figure d’ivrogne apparaissait derrière les arbres.

    • Ultracrépidarianisme (masc.) : définit une personne s'exprimant sur un sujet hors de son domaine de compétences. L'individu donne son avis sur un sujet pour lequel il n'a aucune légitimité ou une base de connaissance insuffisante.

    • Zeugma (ou attelage) (masc.) : atteler deux compléments de natures différents au même verbe ou préposition : "Vêtu de probité et de lin blanc".

    Pour poursuivre sa réflexion :
    Définition des figures de style littéraires - Culture Livresque
    Les figures de style sont partout en littérature. Elles sont parfois volontaires, d’autres fois elles se dévoilent à la lecture. Chacune d’entre elles provoque un effet au moment de la lecture. Les figures de style...